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Question 1

HLPaper 2

Blog : Mon identité en tant qu’expatriée

Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog ! Aujourd'hui, j'ai envie de partager avec vous mon expérience en tant qu’expatriée. Cela fait cinq ans que j’ai quitté la France pour m’installer à Montréal, au Canada, et je peux dire que cette aventure a complètement transformé mon identité. Quand je suis arrivée à Montréal, je me sentais à la fois excitée et perdue. Excitée par toutes les nouvelles découvertes qui m’attendaient, mais aussi perdue parce que je ne savais pas encore comment m’intégrer dans cette nouvelle société. La langue n'était pas un obstacle, car le français est une des langues officielles ici, mais les différences culturelles étaient tout de même très présentes. Par exemple, au début, j’étais surprise par l’importance de la politesse et de la ponctualité dans les interactions sociales. En France, on est peut-être un peu plus décontracté à ce sujet. Mais petit à petit, j’ai appris à comprendre et à apprécier les nuances de la culture québécoise. Ce processus d’adaptation a été essentiel pour me sentir à ma place. Cela a aussi changé ma perception de moi-même. Je ne me considère plus seulement comme une Française vivant à l’étranger, mais comme quelqu’un qui a adopté une partie de l’identité québécoise. Aujourd’hui, je me sens enrichie d’avoir cette double culture. Être expatriée m’a aussi permis de réfléchir à ce qui constitue vraiment mon identité. Est-ce ma nationalité ? Mes habitudes culturelles ? Les deux ? Ce que je réalise, c’est que mon identité est devenue plus complexe. J'ai appris à me définir non pas par un seul aspect, mais par un mélange de plusieurs influences. Il y a bien sûr des moments où la France me manque : la famille, la nourriture, les traditions. Mais à travers cette expérience, j’ai compris que l’identité n’est pas figée. Elle évolue au fil des expériences et des rencontres. Et pour moi, être expatriée a été l’occasion de redéfinir qui je suis. Et vous, avez-vous déjà vécu une expérience similaire ? N’hésitez pas à partager vos réflexions dans les commentaires.

Répondez aux questions suivantes :

1.

Quelle différence culturelle a surpris l'auteure en arrivant à Montréal?

[1]

2.

Quel avantage personnel l’auteure a-t-elle tiré de son expérience en tant qu’expatriée?

[1]

Question 2

SLPaper 2

Article : L’organisation sociale à l’ère moderne : défis et opportunités

Dans notre société moderne, l'organisation sociale évolue rapidement, façonnée par de nombreux facteurs tels que la mondialisation, la technologie, et les changements culturels. Ce qui est certain, c’est que cette transformation présente des défis, mais aussi de nombreuses opportunités pour repenser la manière dont nous vivons ensemble. Traditionnellement, les sociétés étaient organisées autour de structures claires : la famille, le travail, l'école, et les institutions religieuses. Cependant, ces dernières décennies, ces structures ont été mises à l’épreuve. En particulier, la structure familiale a connu des changements profonds. De plus en plus de familles monoparentales, recomposées ou vivant en union libre émergent dans les pays francophones. Par exemple, en France, près de 25 % des enfants vivent aujourd'hui dans une famille monoparentale. Cette diversité familiale reflète une évolution des valeurs sociales et nécessite de nouveaux modèles d'organisation pour soutenir ces familles. Le monde du travail a également connu des mutations importantes. L’apparition des technologies numériques a transformé la manière dont les individus interagissent avec leurs collègues et leur environnement de travail. Le télétravail, qui est devenu courant après la pandémie, en est un exemple frappant. Si cette évolution présente des avantages, comme une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie privée, elle pose aussi des défis. Par exemple, certains employés se sentent isolés et déconnectés de leurs collègues. Des initiatives pour recréer des liens sociaux dans le cadre du travail sont donc nécessaires. Les villes aussi évoluent et deviennent des lieux de plus en plus connectés. Dans de nombreuses villes francophones, on observe un développement des « villes intelligentes » ou smart cities, qui intègrent des technologies pour améliorer la qualité de vie des citoyens. Cela inclut des transports plus efficaces, une gestion des ressources plus durable, et des espaces publics plus accessibles. Cependant, ces innovations posent également des questions sur l’équité sociale. Tout le monde a-t-il accès à ces technologies ? Et comment éviter que ces changements ne creusent davantage les inégalités sociales ? La question de l’éducation est au cœur de cette réorganisation sociale. Dans les sociétés francophones, l’éducation est vue comme un pilier essentiel pour l’égalité des chances. Pourtant, avec la montée des technologies, de nouveaux défis émergent. Les enseignants doivent non seulement s'adapter à l'enseignement numérique, mais aussi veiller à ce que tous les élèves aient accès aux outils nécessaires, notamment dans les régions défavorisées. Au Québec, par exemple, des programmes ont été mis en place pour fournir des ordinateurs et des connexions internet aux étudiants issus de milieux modestes, afin de réduire l’écart numérique. En fin de compte, l’organisation sociale moderne est en pleine mutation. Si les structures traditionnelles continuent d’exister, elles sont souvent réinventées pour répondre aux besoins de la société contemporaine. Les défis sont nombreux : les inégalités persistent, l’accès aux nouvelles technologies n’est pas toujours équitable, et le besoin de recréer du lien social est pressant. Toutefois, ces défis offrent également des opportunités pour construire une société plus solidaire, inclusive et adaptée aux enjeux du XXIe siècle.

Choisissez la bonne réponse.

1.

Quel est l’un des principaux avantages des villes intelligentes, selon le texte ?

A. Elles permettent aux habitants de travailler de chez eux.
B. Elles rendent les transports publics plus rapides et efficaces.
C. Elles réduisent les inégalités sociales grâce aux technologies.
D. Elles augmentent les possibilités de logement en ville.

[1]

2.

Pourquoi la structure familiale est-elle en mutation dans les sociétés francophones, selon le texte ?

A. Parce que les valeurs religieuses n’ont plus d’importance.
B. Parce que les familles recomposées et monoparentales sont en augmentation.
C. Parce que les familles préfèrent vivre en dehors des grandes villes.
D. Parce que les gouvernements encouragent les nouvelles formes de famille.

[1]

Question 3

HLPaper 2

Blog : Mon identité en tant qu’expatriée

Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog ! Aujourd'hui, j'ai envie de partager avec vous mon expérience en tant qu’expatriée. Cela fait cinq ans que j’ai quitté la France pour m’installer à Montréal, au Canada, et je peux dire que cette aventure a complètement transformé mon identité. Quand je suis arrivée à Montréal, je me sentais à la fois excitée et perdue. Excitée par toutes les nouvelles découvertes qui m’attendaient, mais aussi perdue parce que je ne savais pas encore comment m’intégrer dans cette nouvelle société. La langue n'était pas un obstacle, car le français est une des langues officielles ici, mais les différences culturelles étaient tout de même très présentes. Par exemple, au début, j’étais surprise par l’importance de la politesse et de la ponctualité dans les interactions sociales. En France, on est peut-être un peu plus décontracté à ce sujet. Mais petit à petit, j’ai appris à comprendre et à apprécier les nuances de la culture québécoise. Ce processus d’adaptation a été essentiel pour me sentir à ma place. Cela a aussi changé ma perception de moi-même. Je ne me considère plus seulement comme une Française vivant à l’étranger, mais comme quelqu’un qui a adopté une partie de l’identité québécoise. Aujourd’hui, je me sens enrichie d’avoir cette double culture. Être expatriée m’a aussi permis de réfléchir à ce qui constitue vraiment mon identité. Est-ce ma nationalité ? Mes habitudes culturelles ? Les deux ? Ce que je réalise, c’est que mon identité est devenue plus complexe. J'ai appris à me définir non pas par un seul aspect, mais par un mélange de plusieurs influences. Il y a bien sûr des moments où la France me manque : la famille, la nourriture, les traditions. Mais à travers cette expérience, j’ai compris que l’identité n’est pas figée. Elle évolue au fil des expériences et des rencontres. Et pour moi, être expatriée a été l’occasion de redéfinir qui je suis. Et vous, avez-vous déjà vécu une expérience similaire ? N’hésitez pas à partager vos réflexions dans les commentaires.

Trouvez les mots qui complètent les phrases suivantes. Utilisez les mots tels qu’ils apparaissent dans les paragraphes 1, 2 et 3.

1.

Quand l’auteure est arrivée à Montréal, elle s’est sentie excitée mais aussi un peu _____.

[1]

2.

Même si le français est parlé à Montréal, l’auteure a remarqué des différences _____.

[1]

3.

Au fil du temps, l’auteure a adopté une partie de l’identité _____.

[1]

4.

L’auteure se définit désormais par un mélange de plusieurs _____.

[1]

Question 4

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Blog : Mon identité en tant qu’expatriée

Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog ! Aujourd'hui, j'ai envie de partager avec vous mon expérience en tant qu’expatriée. Cela fait cinq ans que j’ai quitté la France pour m’installer à Montréal, au Canada, et je peux dire que cette aventure a complètement transformé mon identité. Quand je suis arrivée à Montréal, je me sentais à la fois excitée et perdue. Excitée par toutes les nouvelles découvertes qui m’attendaient, mais aussi perdue parce que je ne savais pas encore comment m’intégrer dans cette nouvelle société. La langue n'était pas un obstacle, car le français est une des langues officielles ici, mais les différences culturelles étaient tout de même très présentes. Par exemple, au début, j’étais surprise par l’importance de la politesse et de la ponctualité dans les interactions sociales. En France, on est peut-être un peu plus décontracté à ce sujet. Mais petit à petit, j’ai appris à comprendre et à apprécier les nuances de la culture québécoise. Ce processus d’adaptation a été essentiel pour me sentir à ma place. Cela a aussi changé ma perception de moi-même. Je ne me considère plus seulement comme une Française vivant à l’étranger, mais comme quelqu’un qui a adopté une partie de l’identité québécoise. Aujourd’hui, je me sens enrichie d’avoir cette double culture. Être expatriée m’a aussi permis de réfléchir à ce qui constitue vraiment mon identité. Est-ce ma nationalité ? Mes habitudes culturelles ? Les deux ? Ce que je réalise, c’est que mon identité est devenue plus complexe. J'ai appris à me définir non pas par un seul aspect, mais par un mélange de plusieurs influences. Il y a bien sûr des moments où la France me manque : la famille, la nourriture, les traditions. Mais à travers cette expérience, j’ai compris que l’identité n’est pas figée. Elle évolue au fil des expériences et des rencontres. Et pour moi, être expatriée a été l’occasion de redéfinir qui je suis. Et vous, avez-vous déjà vécu une expérience similaire ? N’hésitez pas à partager vos réflexions dans les commentaires.

Choisissez la bonne réponse.

Quelle réflexion l’auteure fait-elle sur l’identité à travers son expérience ?

Question 5

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La technologie dans l’éducation : Un changement inévitable?

L’intégration de la technologie dans le système éducatif mondial progresse rapidement. Dans de nombreux pays francophones, tels que la France, le Canada et la Suisse, les établissements scolaires adoptent de plus en plus d’outils numériques pour améliorer l’apprentissage. Cette transformation soulève la question : la technologie est-elle vraiment bénéfique pour les élèves ? D’un côté, la technologie offre de nombreux avantages. Par exemple, les tablettes et ordinateurs permettent aux élèves d’avoir accès à une multitude de ressources éducatives. Des études menées en Belgique et en Suisse ont montré que l’utilisation de supports numériques en classe améliore l’engagement des élèves. De plus, les plateformes en ligne permettent un apprentissage personnalisé, où chaque élève peut progresser à son rythme. D’un autre côté, certains critiques s’inquiètent des effets négatifs de la technologie sur les jeunes. En Afrique francophone, par exemple, où l’accès à la technologie est encore limité, les enseignants craignent que l’écart entre ceux qui ont accès aux outils numériques et ceux qui n’en ont pas augmente. Il y a aussi des préoccupations concernant la distraction que ces outils peuvent causer en classe. Au Canada, des parents et enseignants ont exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation excessive des écrans, qui pourrait nuire à la concentration des élèves. Malgré ces défis, de nombreux gouvernements francophones continuent de soutenir l’intégration de la technologie dans les écoles. En France, le ministère de l’Éducation a lancé plusieurs initiatives pour équiper toutes les écoles de technologies modernes d’ici 2025. L’objectif est d’assurer que tous les élèves, quel que soit leur milieu social, aient accès aux mêmes outils pour réussir dans un monde de plus en plus digitalisé. En conclusion, bien que la technologie dans l’éducation présente des avantages indéniables, il est essentiel de réfléchir à son usage afin de minimiser ses effets négatifs. L’équilibre entre l’innovation et les méthodes traditionnelles d’apprentissage reste une question clé pour les systèmes éducatifs de demain.

Trouvez les mots qui complètent les phrases suivantes. Utilisez les mots tels qu’ils apparaissent dans les paragraphes 1, 2 et 3.

1.

De nombreux pays francophones adoptent des outils ______ pour améliorer l'apprentissage.

[1]

2.

Les études en Belgique et en Suisse montrent que la technologie en classe améliore l’ ______ des élèves.

[1]

3.

En Afrique francophone, l’accès à la technologie est encore ______.

[1]

4.

Au Canada, les parents craignent que l’utilisation excessive des écrans nuise à la ______ des élèves.

[1]

Question 6

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Brochure : Agir pour partager la planète : Comment chacun peut faire la différence

Introduction : Pourquoi partager la planète ? Le concept de "partager la planète" signifie bien plus que simplement coexister avec d’autres êtres humains. Il s'agit de protéger notre environnement, de garantir que les ressources naturelles soient utilisées de manière durable et de s'assurer que toutes les espèces, humaines et animales, aient leur place sur Terre. Dans un monde où les défis environnementaux s’intensifient – réchauffement climatique, perte de biodiversité, pollution – il est urgent d'agir ensemble pour préserver notre planète. Réduire son empreinte carbone Saviez-vous que chaque action quotidienne a un impact sur la planète ? Pour limiter le réchauffement climatique, il est essentiel de réduire notre empreinte carbone. Voici quelques gestes simples que chacun peut adopter : Favoriser les transports durables : Privilégiez la marche, le vélo ou les transports en commun. Si vous devez utiliser une voiture, pensez au covoiturage ou à choisir un véhicule électrique. Réduire la consommation d'énergie : Éteignez les lumières et les appareils électroniques quand ils ne sont pas utilisés. Adoptez des appareils à faible consommation d'énergie et installez des ampoules LED. Acheter local et de saison : Choisir des aliments produits localement et en saison permet de réduire les émissions liées au transport et à la production alimentaire. Protéger la biodiversité La biodiversité joue un rôle crucial dans l'équilibre des écosystèmes. Malheureusement, elle est menacée par la déforestation, l’agriculture intensive, et l’expansion urbaine. Que pouvons-nous faire pour la protéger ? Planter des arbres : Chaque arbre planté aide à capturer le dioxyde de carbone, à améliorer la qualité de l'air et à fournir un habitat pour les animaux. Créer des jardins respectueux de la biodiversité : Favorisez les plantes indigènes et évitez les pesticides pour encourager la présence d’insectes pollinisateurs comme les abeilles et les papillons. Participer à des projets de protection : Beaucoup d’associations locales et internationales organisent des actions pour protéger des espèces menacées ou restaurer des écosystèmes endommagés. Pourquoi ne pas vous engager ? Réduire les déchets La gestion des déchets est un autre enjeu majeur dans le partage des ressources planétaires. Chaque année, des tonnes de plastique se retrouvent dans nos océans, menaçant la faune marine. Voici comment vous pouvez agir : Réduire la consommation de plastique : Optez pour des produits réutilisables comme les bouteilles en verre, les sacs en tissu, et les boîtes à lunch. Recycler correctement : Apprenez à trier vos déchets et vérifiez les règles locales de recyclage. De nombreux matériaux comme le papier, le verre et le métal peuvent être recyclés plusieurs fois. Composter vos déchets organiques : Le compostage réduit la quantité de déchets envoyés en décharge et produit un engrais naturel pour votre jardin. S’engager dans sa communauté Partager la planète, c’est aussi agir à l’échelle locale. Il est important de collaborer avec sa communauté pour un impact durable : Participer à des initiatives locales : Rejoignez des projets de nettoyage des espaces publics, des actions de reforestation, ou des ateliers sur le développement durable dans votre ville. Encourager les politiques écologiques : Soutenez les élus et les initiatives qui défendent l’environnement et des modes de vie durables. Votez pour des projets qui favorisent la transition écologique. Sensibiliser les autres : Parlez à votre entourage des gestes à adopter pour protéger la planète. Organisez des événements locaux pour informer sur les enjeux environnementaux. Conclusion : Ensemble, nous pouvons faire la différence Partager la planète est un engagement collectif. En adoptant des gestes simples au quotidien et en s’engageant dans des actions locales, nous pouvons préserver notre environnement et garantir un avenir plus durable pour tous les êtres vivants. N’oubliez pas : chaque petit geste compte !

Choisissez la bonne réponse. Selon le texte, pourquoi est-il important d’acheter des aliments produits localement et de saison ?

Question 7

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Blog : Mon identité en tant qu’expatriée

Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog ! Aujourd'hui, j'ai envie de partager avec vous mon expérience en tant qu’expatriée. Cela fait cinq ans que j’ai quitté la France pour m’installer à Montréal, au Canada, et je peux dire que cette aventure a complètement transformé mon identité. Quand je suis arrivée à Montréal, je me sentais à la fois excitée et perdue. Excitée par toutes les nouvelles découvertes qui m’attendaient, mais aussi perdue parce que je ne savais pas encore comment m’intégrer dans cette nouvelle société. La langue n'était pas un obstacle, car le français est une des langues officielles ici, mais les différences culturelles étaient tout de même très présentes. Par exemple, au début, j’étais surprise par l’importance de la politesse et de la ponctualité dans les interactions sociales. En France, on est peut-être un peu plus décontracté à ce sujet. Mais petit à petit, j’ai appris à comprendre et à apprécier les nuances de la culture québécoise. Ce processus d’adaptation a été essentiel pour me sentir à ma place. Cela a aussi changé ma perception de moi-même. Je ne me considère plus seulement comme une Française vivant à l’étranger, mais comme quelqu’un qui a adopté une partie de l’identité québécoise. Aujourd’hui, je me sens enrichie d’avoir cette double culture. Être expatriée m’a aussi permis de réfléchir à ce qui constitue vraiment mon identité. Est-ce ma nationalité ? Mes habitudes culturelles ? Les deux ? Ce que je réalise, c’est que mon identité est devenue plus complexe. J'ai appris à me définir non pas par un seul aspect, mais par un mélange de plusieurs influences. Il y a bien sûr des moments où la France me manque : la famille, la nourriture, les traditions. Mais à travers cette expérience, j’ai compris que l’identité n’est pas figée. Elle évolue au fil des expériences et des rencontres. Et pour moi, être expatriée a été l’occasion de redéfinir qui je suis. Et vous, avez-vous déjà vécu une expérience similaire ? N’hésitez pas à partager vos réflexions dans les commentaires.

Choisissez la bonne réponse.

Comment l’auteure se considère-t-elle aujourd’hui après cinq ans à Montréal ?

Question 8

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La technologie dans l’éducation : Un changement inévitable?

L’intégration de la technologie dans le système éducatif mondial progresse rapidement. Dans de nombreux pays francophones, tels que la France, le Canada et la Suisse, les établissements scolaires adoptent de plus en plus d’outils numériques pour améliorer l’apprentissage. Cette transformation soulève la question : la technologie est-elle vraiment bénéfique pour les élèves ? D’un côté, la technologie offre de nombreux avantages. Par exemple, les tablettes et ordinateurs permettent aux élèves d’avoir accès à une multitude de ressources éducatives. Des études menées en Belgique et en Suisse ont montré que l’utilisation de supports numériques en classe améliore l’engagement des élèves. De plus, les plateformes en ligne permettent un apprentissage personnalisé, où chaque élève peut progresser à son rythme. D’un autre côté, certains critiques s’inquiètent des effets négatifs de la technologie sur les jeunes. En Afrique francophone, par exemple, où l’accès à la technologie est encore limité, les enseignants craignent que l’écart entre ceux qui ont accès aux outils numériques et ceux qui n’en ont pas augmente. Il y a aussi des préoccupations concernant la distraction que ces outils peuvent causer en classe. Au Canada, des parents et enseignants ont exprimé leur inquiétude quant à l’utilisation excessive des écrans, qui pourrait nuire à la concentration des élèves. Malgré ces défis, de nombreux gouvernements francophones continuent de soutenir l’intégration de la technologie dans les écoles. En France, le ministère de l’Éducation a lancé plusieurs initiatives pour équiper toutes les écoles de technologies modernes d’ici 2025. L’objectif est d’assurer que tous les élèves, quel que soit leur milieu social, aient accès aux mêmes outils pour réussir dans un monde de plus en plus digitalisé. En conclusion, bien que la technologie dans l’éducation présente des avantages indéniables, il est essentiel de réfléchir à son usage afin de minimiser ses effets négatifs. L’équilibre entre l’innovation et les méthodes traditionnelles d’apprentissage reste une question clé pour les systèmes éducatifs de demain.

Choisissez la fin appropriée de la liste pour terminer chaque phrase.

A. trouvent que la technologie est trop coûteuse.
B. s’inquiètent de l’utilisation excessive des écrans.
C. a lancé un programme pour équiper les écoles de technologies modernes.
D. ne bénéficient pas d’un accès égal à la technologie.
E. pensent que la technologie ne remplace pas l'enseignement traditionnel.
F. soutiennent l’utilisation des technologies pour un apprentissage personnalisé.

1.

Les élèves en Afrique francophone…

[1]

2.

Le gouvernement français…

[1]

3.

Certains parents au Canada…

[1]

Question 9

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Article : L’organisation sociale à l’ère moderne : défis et opportunités

Dans notre société moderne, l'organisation sociale évolue rapidement, façonnée par de nombreux facteurs tels que la mondialisation, la technologie, et les changements culturels. Ce qui est certain, c’est que cette transformation présente des défis, mais aussi de nombreuses opportunités pour repenser la manière dont nous vivons ensemble. Traditionnellement, les sociétés étaient organisées autour de structures claires : la famille, le travail, l'école, et les institutions religieuses. Cependant, ces dernières décennies, ces structures ont été mises à l’épreuve. En particulier, la structure familiale a connu des changements profonds. De plus en plus de familles monoparentales, recomposées ou vivant en union libre émergent dans les pays francophones. Par exemple, en France, près de 25 % des enfants vivent aujourd'hui dans une famille monoparentale. Cette diversité familiale reflète une évolution des valeurs sociales et nécessite de nouveaux modèles d'organisation pour soutenir ces familles. Le monde du travail a également connu des mutations importantes. L’apparition des technologies numériques a transformé la manière dont les individus interagissent avec leurs collègues et leur environnement de travail. Le télétravail, qui est devenu courant après la pandémie, en est un exemple frappant. Si cette évolution présente des avantages, comme une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie privée, elle pose aussi des défis. Par exemple, certains employés se sentent isolés et déconnectés de leurs collègues. Des initiatives pour recréer des liens sociaux dans le cadre du travail sont donc nécessaires. Les villes aussi évoluent et deviennent des lieux de plus en plus connectés. Dans de nombreuses villes francophones, on observe un développement des « villes intelligentes » ou smart cities, qui intègrent des technologies pour améliorer la qualité de vie des citoyens. Cela inclut des transports plus efficaces, une gestion des ressources plus durable, et des espaces publics plus accessibles. Cependant, ces innovations posent également des questions sur l’équité sociale. Tout le monde a-t-il accès à ces technologies ? Et comment éviter que ces changements ne creusent davantage les inégalités sociales ? La question de l’éducation est au cœur de cette réorganisation sociale. Dans les sociétés francophones, l’éducation est vue comme un pilier essentiel pour l’égalité des chances. Pourtant, avec la montée des technologies, de nouveaux défis émergent. Les enseignants doivent non seulement s'adapter à l'enseignement numérique, mais aussi veiller à ce que tous les élèves aient accès aux outils nécessaires, notamment dans les régions défavorisées. Au Québec, par exemple, des programmes ont été mis en place pour fournir des ordinateurs et des connexions internet aux étudiants issus de milieux modestes, afin de réduire l’écart numérique. En fin de compte, l’organisation sociale moderne est en pleine mutation. Si les structures traditionnelles continuent d’exister, elles sont souvent réinventées pour répondre aux besoins de la société contemporaine. Les défis sont nombreux : les inégalités persistent, l’accès aux nouvelles technologies n’est pas toujours équitable, et le besoin de recréer du lien social est pressant. Toutefois, ces défis offrent également des opportunités pour construire une société plus solidaire, inclusive et adaptée aux enjeux du XXIe siècle.

Trouvez les mots qui complètent les phrases suivantes. Utilisez les mots tels qu’ils apparaissent dans les paragraphes 1, 2 et 3.

1.

L'organisation sociale moderne est influencée par la mondialisation, la technologie, et les changements _____.

[1]

2.

De plus en plus de familles en France sont _____ ou monoparentales.

[1]

3.

Le télétravail peut améliorer la conciliation entre vie professionnelle et _____.

[1]

4.

Les villes intelligentes utilisent des technologies pour améliorer la qualité de vie et rendre les _____ publics plus accessibles.

[1]

Question 10

SLPaper 2

Le recyclage: une solution pour l'avenir?

Dans le monde moderne, le recyclage est devenu un enjeu central pour lutter contre la pollution et le gaspillage des ressources naturelles. Les gouvernements encouragent les citoyens à recycler pour réduire l'empreinte carbone et préserver l'environnement. Cependant, beaucoup de gens se demandent si leurs efforts de recyclage sont vraiment efficaces. En France, le système de tri sélectif a été mis en place dans les années mille neuf cent quatre-vingt-dix. Chaque foyer reçoit des bacs de différentes couleurs pour trier les déchets : un pour le papier, un autre pour le plastique, et un dernier pour le verre. Bien que ce système soit largement répandu, il n'est pas toujours facile de l'appliquer correctement. De nombreuses personnes confondent encore les différents types de matériaux ou ignorent certaines consignes de tri. En outre, le processus de recyclage lui-même pose certaines questions. Par exemple, toutes les matières recyclables ne peuvent pas être recyclées indéfiniment. Le plastique, par exemple, se détériore au fil des cycles de recyclage, ce qui limite son utilité à long terme. De plus, le coût énergétique du recyclage est souvent pointé du doigt : il faut de grandes quantités d'énergie pour traiter les matériaux et les transformer en nouveaux produits. Malgré ces défis, de nouvelles technologies émergent pour rendre le recyclage plus efficace. Certains chercheurs travaillent sur des procédés permettant de recycler le plastique à l'infini, tandis que d'autres développent des matériaux biodégradables pour remplacer les plastiques traditionnels. L'objectif est de réduire la dépendance aux ressources naturelles tout en minimisant les déchets non recyclables. Finalement, le recyclage reste une étape essentielle dans la lutte contre la pollution, mais il doit être accompagné de changements dans nos habitudes de consommation. Il est crucial de réduire la production de déchets en amont en privilégiant des produits durables et en adoptant des comportements écoresponsables. Seul un effort collectif pourra garantir un avenir plus vert et plus propre.

Répondez aux questions suivantes:

1.

Le tri sélectif est apparu en France dans les années 1980.

[1]

2.

Le verre se recycle moins bien que le plastique.

[1]

3.

Les nouvelles technologies cherchent à rendre le plastique biodégradable.

[1]

4.

Le recyclage est la seule solution pour lutter contre la pollution.

[1]

5.

La réduction des déchets est aussi importante que le recyclage.

[1]

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